Ma passion pour les nouvelles technologies est, c’est le moins qu’on puisse dire, bien documentée. Tout comme les réserves que j’éprouve envers les effets pervers qu’entraîne trop souvent leur usage dans la vie quotidienne. Je me souviens par exemple des discussions qui avaient cours lors de l’introduction de l’informatique personnelle, de la possibilité dont nous disposerions bientôt de déléguer des tâches ennuyeuses et répétitives aux ordinateurs afin de mieux profiter de la vie.